There is actually a lot on moto-taxis (motorbike taxis) in West
Africa generally – they often emerged during strikes or conflict, or are a
grassroots solution . The state dislikes them (see bottom reference)
Cotonou Benin has the Zemidjans (Fon language for ‘let’s go quickly’)
and also in Togo
ABOTSI
Kossi 2005 UN CAS DE TRANSPORT URBAIN EN AFRIQUE: LES
TAXIS MOTOS AU TOGO. DEA thesis Paris 7
http://www.transponts.com/fichiers/travaux/travaux_2005/AA-Transports_Urbains_Togo.pdf
Nés au Bénin voisin au début des années 90,
les taxis motos communément appelés "ZEMIDJAN "ou "Z"
littéralement "Prends moi vite” ont
bouleversés les modes de transport urbains
dominés à l'époque par les taxis voitures et les minibus. Au Togo, ce moyen de
transport fit son apparition en 1993 pendant la longue grève politique de 13
mois que le Togo a connu, dans sa lutte pour la conquête de la démocratie et du
pluralisme des partis politiques, avec le pouvoir en place, depuis 25 ans de
règne sans partage du président Eyadema, et qui a paralysé l'activité
économique du pays.
( was actually in Togo when
this was going on)
Also many papers from the The Taxi Research
Network
and its conferences http://www.ville-en-mouvement.com/taxi/
e.g.
L D
Olvera, D Plat, P Pochet, M Sahabana 2007 LES MOTOS-TAXIS DANS LES VILLES
D'AFRIQUE AU SUD DU SAHARA. Conference - Le taxi, premier transport à la demande. Colloque
scientifique et technique Lisbon, 20 et 21 sept
http://www.ville-en-mouvement.com/taxi/telechargements/Diaz_Olvera.pdf
In a number of African cities, a new form
of transport is rapidly expanding, the motor bike-taxi.
This mean of public transport meets a large
part of the daily travel needs but it also gives rise to
critics from users, other public transport
operators and authorities. This paper attempts i) to show
that the development of motor bike-taxis
represents a “by the bottom-up” response to the
multiform crisis of cities and ii) to
assess the current place of the motor bike-taxi in the urban
transport sector and the daily travel
system, its advantages and disadvantages. Our study is mainly
based on fieldwork undertaken recently in
Douala, i.e. interviews of inhabitants and motor biketaxi
drivers, a household survey on daily travel
and an on-board survey.
Sadou A. 2007 LE
TAXI MOTO ET L’INSECURITE URBAINE DANS LE NORD-CAMEROUN, LE CAS DE LA VILLE DE
NGAOUNDERE. Conference - Le
taxi, premier transport à la demande. Colloque scientifique et technique Lisbon,
20 et 21 sept
http://www.ville-en-mouvement.com/taxi/telechargements/Sadou1%20ngaoundere.pdf
Dans les années 1970 – 1980, les jeunes des
villes et certains villages du Nord Cameroun
s’adonnaient à la location des bicyclettes
pour en apprendre la conduite, se distraire ou vaquer à
leurs occupations personnelles. Les
motocyclettes plutôt rares n’étaient concernées par la location
que bien des années plus tard. Dans les
années 1980, apparaît l’activité de taxi moto qui, depuis sa
formalisation en 1994, va renter dans les
moeurs des populations comme mode de transport urbain.
A Maroua, Garoua ou Guider, le taxi moto va
progressivement supplanter le taxi auto. A
Ngaoundéré, l’émergence du phénomène de
taxi moto a coïncidé avec l’augmentation de
l’insécurité. Ainsi, à côté des accidents
de la circulation, le banditisme a connu une ascension
fulgurante : il ne se passe presque pas de
nuit où des agressions ne sont commises sous des formes
diverses, et dans la plupart desquelles la
participation des mototaximen est établie. Le présent
article retrace l’origine et l’évolution de
l’activité de taxi moto à Ngaoundéré, ressort l’implication
des mototaximen dans l’insécurité urbaine
et définit la place du taxi auto comme mode de
transport dans cette ville.
Caterine
Reginensi, Sarah Wickenburg
2007. Entrepreneurs de la mobilité : taxis et
motos-taxis à Rio de Janeiro.
Conference - Le taxi, premier
transport à la demande. Colloque scientifique et technique Lisbon, 20 et 21
sept
http://www.ville-en-mouvement.com/taxi/telechargements/PReginensi-Wickenburg.pdf
Kamdem
P, CKaffo,
B
Tatsabong,; L M Diebo,
. 2007 L’intégration des motos-taxis dans le transport public
au Cameroun ou l’informel à la remorque de l’État : une solution d’avenir au
problème de mobilité et de l’emploi en Afrique subsahariene. Conference - Le taxi, premier
transport à la demande. Colloque scientifique et technique Lisbon, 20 et 21
sept
http://www.ville-en-mouvement.com/taxi/telechargements/Kamdem.pdf
Depuis le début des années 1990, la crise
socio-économique a fragilisé l’intervention de l’Etat
dans les secteurs prioritaires tels que le
transport public. Ce désengagement s’est matérialisé par la
fermeture des entreprises de transport
telles que la SOTUC et le gel des travaux d’entretien
routier. Ainsi, le mauvais état des routes
et l’incapacité de l’Etat d’assurer le transport urbain ont
hypothéqué la mobilité des personnes. Comme
solution, les populations précarisées ont intégré la
moto dans le transport public. Avec une
clientèle sans cesse croissante et son caractère peut
onéreux et convivial, ce mode de transport
s’est implanté solidement devenant, une activité
économique de grande importance. Cependant,
ce mode de transport reste diversement apprécié
car les acteurs entretiennent une polémique
sur son interdiction et sa légalisation. Néanmoins, il
reste un acquis
informel mais à préserver pour plus d’efficacité.
Dr. Simon Batterbury, Associate Professor, (on research leave)
Dept. of Resource Management and Geography,
University of Melbourne, 3010 VIC, Australia
http://www.simonbatterbury.net/
Director, Office for Environmental Programs (on leave)